Parlons un peu des programmes scolaires au lycées, des thèmes et cours abordés.
Déjà, en langue, le thème était "espace public, espace privé", ce qui permet au profs de mettre un peu tout et n'importe quoi. En allemand, out un thème qui a duré deux mois était à propos du féminisme, avec tout le vocabulaire progressiste et la dénonciation de la femme au foyer et, bien sûr de l'inégalité salariale. En anglais, la moitié de l'année de terminale était à propos des discriminations de genre, avec pour tache final la création d'une pancarte de manif dénonçant les discriminations de sexuelles ou de genre. Evidemment, mon prof n'a pas accepté que je parle des discriminations subies par les hommes. Les élèves n'étaient pas obligés de de sourcés leur discriminations avec des chiffres, il suffisait de parler de leur sentiments. L'autre moitié de l'année a été passée a parlé des discriminations raciales et des violences policières. Les cours d'histoire et de géopolitiques se sont pour ma part mieux passés, grâce aux professeurs qui nous ont répétés tout au long de l'année : on ne peut pas juger une époque passée avec notre morale actuelle. En philosophie, le professeur abordait tous les points de vus ce qui permettait un meilleur apprentissage, mais ce qui n'a pas empêchés les élèves de s'indigner lorsque le professeur donnaient des arguments en faveur d'un point de vu plus traditionaliste. Evidemment, c'était le seul moment où les élèves participaient. Je sais pourtant qu'avec d'autres professeurs de philosophie, des camarades n'ont pas eu la chance d'avoir tout les point de vus abordés, étonnant pour cette matière.